Suite à des échanges sur FSF, petite sortie au jig pour voir ce que cela donne.
Les seuls jigs dont je dispose sont les Geologics que j'utilise pour la perche en eau douce, en dandine le long des quais des canaux du nord. Le jig me semble d'ailleurs plus conçu (photo de gauche) pour une dandine que pour une pêche en linéaire : œil côté triple (un certain nombre de carnassiers attaquent l’œil), et qui papillote à la descente, c'est souvent à ce moment que les perches attaquent.
Pour une pêche linéaire, et après une demi heure sans rien, je retourne le jig (photo de droite) et reprends la prospection dans les différents niveaux de le couche d'eau, en variant la vitesse, le nombre et l'intensité des twitchs, pas de résultats. J'essaie les bordures, un peu plus loin du bord (de l'ordre de 20-30 mètres), dans les zones d'écume et dans les zones plus calmes. Soit ma technique, soit le leurre ne plait pas, soit c'est l'heure de la sieste...
Avant de partir, je tente un coup de dandine sous mes pieds, plutôt tranquille et au ras du fond. Paf, premier essai transformé : une girelle me sauve de la douille. Comme sur les leurres souple, j'ai constaté qu'à chaque fois les girelles attaquaient le queue du leurre. Cela expliquerait il que je n'en faisait aucune avec l'œil coté triple ?
Sur le chemin du retour, je tente quelques prospections au leurre souple. Je pense avoir une touche, et lorsque le leurre a terminé sa course je le sous et me rends compte qu'il en manque un bout : on dirait une (petite) bouchée.
En rentrant je passe par le port, et vais dire bonjour à mes amies les castagnoles : il me reste un peu de pain de mie dans la poche. J'en lance quelques miettes et les regarde se chamailler. L'organisation est toujours la même : les castagnoles sont les premières sur les miettes dans les couches hautes, voire en surface, ensuite viennent les saupes un peu plus grosses, qui une fois alertés sautent dans tous les sens voire hors de l'eau, et enfin en dessous les girelles, qui ne vont toucher au miettes que s'il en reste à ce niveau ou bien si les autres les ont entraînées vers le fond.
Un groupe de saupes d'une vingtaine de centimètres passe comme une bombe, suivi par ce qui pourrait être deux sar à tête noir en maraude (je ne suis pas sûr de l'identification pour ces derniers, tache noir sombre devant la queue et derrière la tête). L'un des deux chipe la miette d'une castagnole. Alors je sors ma canne au coup de poche et tente de leur proposer une bonne grosse miette bien tassée histoire qu'elle arrive au fond. L'un d'entre eux s'en charge après l'avoir de nouveau chipée au groupe de castagnoles / saupes et file. Et là, pas paf : mon ferrage ne devait pas être assez appuyé car l'hameçon (14 sans ardillon) lui ressort de la bouche avec le reste de la miette... Caramba ! Je laisse de nouveau couler ce qui me reste de miette et une petite saupe vient me remonter le moral (oui oui, elle s'est soulagée sur moi avant de repartir à l'eau).
En rentrant je passe par le port, et vais dire bonjour à mes amies les castagnoles : il me reste un peu de pain de mie dans la poche. J'en lance quelques miettes et les regarde se chamailler. L'organisation est toujours la même : les castagnoles sont les premières sur les miettes dans les couches hautes, voire en surface, ensuite viennent les saupes un peu plus grosses, qui une fois alertés sautent dans tous les sens voire hors de l'eau, et enfin en dessous les girelles, qui ne vont toucher au miettes que s'il en reste à ce niveau ou bien si les autres les ont entraînées vers le fond.
Un groupe de saupes d'une vingtaine de centimètres passe comme une bombe, suivi par ce qui pourrait être deux sar à tête noir en maraude (je ne suis pas sûr de l'identification pour ces derniers, tache noir sombre devant la queue et derrière la tête). L'un des deux chipe la miette d'une castagnole. Alors je sors ma canne au coup de poche et tente de leur proposer une bonne grosse miette bien tassée histoire qu'elle arrive au fond. L'un d'entre eux s'en charge après l'avoir de nouveau chipée au groupe de castagnoles / saupes et file. Et là, pas paf : mon ferrage ne devait pas être assez appuyé car l'hameçon (14 sans ardillon) lui ressort de la bouche avec le reste de la miette... Caramba ! Je laisse de nouveau couler ce qui me reste de miette et une petite saupe vient me remonter le moral (oui oui, elle s'est soulagée sur moi avant de repartir à l'eau).
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